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Sac à dos, sac d'enfant, sac féminin, pochette Le sac en dehors de son aspect purement pratique est également un accessoire indispensable pour terminer une tenue, lui donner du style, une certaine image, du caractère. Choisir son sac pour chaque occasion de la vie est aujourd'hui très facile. Dans le grand choix proposé sur le marché chacun peut trouver son sac à sa mesure: sac à dos pour garder les mains libres, sac pour la ville, pour les courses, le sac dame, féminin, brodé ou coloré, un sac pour tous les goûts et tous les ages, dans toutes les couleurs, dans toutes les tailles, le sac en cuir, en similicuir, en imitation cuir, en laine feutrée, en chanvre, sac pour idée cadeau, etc... Si vous êtes en quête d'un sac joyeux et coloré, un sac unique, différent et original, un sac pour enfant, jeune ou moins jeune, vous trouverez toutes sortes de sacs sur le Toit-du-Monde. Pour la plupart des Tibétains et des habitants de ces contrées du Toit du Monde, l'objet est une sorte de pont entre le monde matériel et le monde spirituel et le simple fait de regarder et d'utiliser un bel objet est en soi un acte positif et sacré.
Pour la plupart des Tibétains et des habitants de ces contrées du Toit du Monde, l'objet est une sorte de pont entre le monde matériel et le monde spirituel et le simple fait de regarder et d'utiliser un bel objet est en soi un acte positif et sacré. Les contrées les plus reculées du Tibet ont, de tout temps, pratiqué le commerce lointain. Une branche de la route de la soie reliait Lhassa à Yarkand, sur le chemin de l'Asie centrale, et une autre le Cachemire à l'Inde par le Ladakh. Relayant ces routes commerciales, des colporteurs passaient de campement en campement, chargés de marchandises légères, et notamment de précieux tissus, des soieries et des brocarts venus de Chine et d'Inde. Les Tibétains sont très friands de tissus, cotonnades, soieries, et les commerçants cachemiris qui les importaient étaient autrefois les plus riches marchands de Lhassa. Pour permettre aux fabriques tibétaines d'écouler leurs produits, les teinturiers de Lhassa n'étaient jadis autorisés à teindre que les tissus tibétains.
Pour la plupart des Tibétains et des habitants de ces contrées du Toit du Monde, l'objet est une sorte de pont entre le monde matériel et le monde spirituel et le simple fait de regarder et d'utiliser un bel objet est en soi un acte positif et sacré. Les contrées les plus reculées du Tibet ont, de tout temps, pratiqué le commerce lointain. Une branche de la route de la soie reliait Lhassa à Yarkand, sur le chemin de l'Asie centrale, et une autre le Cachemire à l'Inde par le Ladakh. Relayant ces routes commerciales, des colporteurs passaient de campement en campement, chargés de marchandises légères, et notamment de précieux tissus, des soieries et des brocarts venus de Chine et d'Inde. Les Tibétains sont très friands de tissus, cotonnades, soieries, et les commerçants cachemiris qui les importaient étaient autrefois les plus riches marchands de Lhassa. Pour permettre aux fabriques tibétaines d'écouler leurs produits, les teinturiers de Lhassa n'étaient jadis autorisés à teindre que les tissus tibétains. Pochette en cuir ou à l'aspect cuir, décorée de jolies broderies confectionnées sur le Toit du Monde. Ces pochettes de différents modèles comportent de multiples poches pour de multiples usages...
Pochette ou Porte-monnaie en laine feutrée réalisé au Népal. La feutrine est une étoffe colorée, moelleuse et légère. Ce n'est pas un textile tissé mais un feutre qui est obtenu à partir de la laine. Le matériaux traditionnellement employé est une laine cardée de mouton ou en poil de chèvre mohair qui a la caractéristique d'être léger, fin et de ne pas filer. A la coupe, n'ayant pas de trame ni de chaine, il ne se défait pas et n'a pas besoin de couture de finition. Chaque objet ainsi préparé est lavé, pressé puis séché au soleil de l'Himalaya. Pour la plupart des Tibétains et des habitants de ces contrées du Toit du Monde, l'objet est une sorte de pont entre le monde matériel et le monde spirituel et le simple fait de regarder et d'utiliser un bel objet est en soi un acte positif et sacré. Les contrées les plus reculées du Tibet ont, de tout temps, pratiqué le commerce lointain. Une branche de la route de la soie reliait Lhassa à Yarkand, sur le chemin de l'Asie centrale, et une autre le Cachemire à l'Inde par le Ladakh. Relayant ces routes commerciales, des colporteurs passaient de campement en campement, chargés de marchandises légères, et notamment de précieux tissus, des soieries et des brocarts venus de Chine et d'Inde. Les Tibétains sont très friands de tissus, cotonnades, soieries, et les commerçants cachemiris qui les importaient étaient autrefois les plus riches marchands de Lhassa. Pour permettre aux fabriques tibétaines d'écouler leurs produits, les teinturiers de Lhassa n'étaient jadis autorisés à teindre que les tissus tibétains. Porte-monnaie...
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