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Tara Blanche
Tara la bien-aimée est sans conteste la bodhisattva Tara (Drolma en tibétain) la féminité la plus populaire au Tibet.
Elle est la grand Protectrice et Libératrice.
Elle est de couleur blanche car elle lève les voiles de la source de nos souffrances: l'ignorance et les perturbations internes.
Tara la bien-aimée est sans conteste la bodhisattva (Dolma en tibétain) la féminité la plus populaire au Tibet.
Elle doit probablement sa popularité au sage indien Atisha venu en mission au Tibet au XIè siècle.
Tara est étroitement associée au Bodhisattva Avalokiteshvara (bouddha de la compassion ou Tchenrezig-Chenrezi). Une légende décrit son désespoir devant son impuissance à conduire tous les êtres à la libération, désespoir tel qu'il en pleura. Des larmes d'Avalokiteshvara naquit Tara qui depuis l'assiste. Les tibétains disent souvent que tara est la mère de tous les Bouddha.
Tara se manifeste sous deux formes principales: La Tara Blanche et la Tara Verte.
La Tara blanche est invoquée pour obtenir la longévité. Elle est représentée assise en tailleur, une tige de lotus dans la main gauche, la main droite étant étendue, comme celle de la Tara Verte, pour accorder les bénédictions et la réalisation des désirs.
La Tara Verte est la plus populaire, sa couleur symbolisant la dimension active de la compassion.
A part ces deux formes, Tara possède vingt et un autres aspects.
Parfois elles sont toutes représentées dans le même livre et sont énumérées dans un chant populaire tibétain qui leur rend hommage.
Chaque pièce est unique et réalisée à la main par un artisan du Népal avec de précieux métaux.
Le savoir-faire de ces artisans du Toit du Monde se transmet toujours de nos jours de génération en génération.