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Utilisez la molette de la souris pour zoomer ou dézoomer
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Compteur de mala à rajouter à un mala, chapelet ou rosaire pour comptabiliser les centaines de mantras récités.
La couleur du tissu peut être d'une autre couleur (rose foncé ou turquoise)
Compteur pouvant être ajouté à un mala, rosaire ou chapelet pour comptabiliser les mantras récités.
Le compteur est constitué de deux fois dix minuscules anneaux, enfilés sur de minces fils de laine, terminé par un petit vajra et une petite cloche. Les compteurs marquent les unités (vajra) et les dizaines (cloche) pour chaque tour complet de cent huit mantras récités.
Le mala est aussi appelé rosaire bouddhique. Il est l'un des attributs essentiels du pèlerin et d'un grand nombre de divinités. Le mala est composé de 108 perles enfilées, ce qui justifie son nom, puisqu'il signifie simplement "Guirlande" (de perles).
Il peut être porté comme un collier ou enroulé autour du poignet gauche comme bracelet lorsqu'il n'est pas utilisé comme support tactile pour réciter ou égrainer des mantras.
Le mala est tenu de la main gauche par le pratiquant, mais on le trouve parfois dans la main droite des divinités. On l'égrène en tirant les perles vers soi, ce qui symbolise que l'on tire les êtres hors de la souffrance.
Chacune des 108 perles du mala marque une prière ou un mantra si l'on s'est fixé d'en répéter un nombre défini.
Les plus fervents et pratiquants religieux tibétains, craignant de s'égarer dans leurs comptes astronomiques, intercalent entre les grains du mala quatres repères que l'on appelle "chaturmahârajâ". Ce sont en général des perles plus grosses ou des pendentifs symboliques tel que la cloche et le foudre, qu'un bout de fil rouge ou jaune rattache au mala.